
Pour faire suite à La présence (de Pierre Jourde), un peu de Quignard (Pascal)
On raconte que les deux premières peurs, préhumaines, ont trait à la solitude et à l’obscurité. Nous aimons pouvoir faire venir à volonté un peu de compagnie et de lumières feintes. Ce sont les histoires que nous lisons et que nous tenons le soir dans nos mains.
La déprogrammation de la littérature, Pascal Quignard


7 Comments
Aymeline
Voilà un homme qui a tout compris à la fonction d’un livre je trouve
Powings
L’illustration de ton article est très jolie !
la pintade aixoise
C’est exactement ça. J’aime beaucoup ton illustration, d’où vient-elle ?
Delphinesbooks
Aie, aie, aie, impossible de remettre la main sur l’auteur de la photo…. (honte à moi)
pale and delicate
Je l’ai acheté tout à l’heure justement tiens (le Jourde). A l’attaque :)
Réjanie13
Bon je vais manquer d’originalité, super le montage ! Tu en es l’auteur ?
C’est vrai que les livres sont de beaux compagnons, rarement décevant :) et puis si tant est qu’ils nous déçoivent ce n’est jamais pour longtemps ^^
Bonne soirée
Delphinesbooks
Non, je ne suis malheureusement pas l’auteur de cette photo (et je n’arrive d’ailleurs pas à remettre la main sur l’auteur – honte à moi)