Retour sur les 68 premières fois
De cette année de lecture de 1er romans, j’ai lu 12 titres de la 1ere sélection et 8 de la 2eme sélection qui m’a beaucoup moins convaincue (toujours en cours)
Les 12 lus de la 1ere sélection (avis de l’ensemble des lecteurs en lien) :
Aure Atika : Mon ciel et ma terre, Cécile Balavoine : Maestro, Vanessa Bamberger : Principe de suspension, Marie Barraud : Nous, les passeurs Laetitia Colombani : La tresse, Dominique Costermans : Outre-mère, Jacky Durand : Marguerite, Stéphanie Kalfon : Les parapluies d’Erik Satie, Maryam Madjidi : Marx et la poupée, Christiana Moreau : La sonate oubliée, Sandra Reinflet : Ne parle pas aux inconnus, Marine Westphal : La téméraire
Les 8 de la 2eme sélection (dont je n’ai pas parlé sur le blog d’ailleurs)
Ma reine – Jean-Baptiste Andrea ; Le courage qu’il faut aux rivières – Emmanuelle Favier ; Neverland – Timothée de Fombelle ; Son absence – Emmanuelle Grangé ; Mademoiselle à la folie – Pascale Lécosse; La fille du van – Ludovic Ninet ; Il n’y a pas internet au Paradis – Gaëlle Pingault ; Ces rêves qu’on piétine – Sébastien Spitzer.
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J’ai lu 20 livres sur les 2 sélections (j’en ai encore 2 en cours). Au final, assez peu m’ont marquée durablement, 2 très fortement :
D’autres me laissent un souvenir mémorable
- Nous les passeurs de Marie Barraud
- Maestro de Cécile Balavoine
- Outre-mère de Dominique Ostermans
- Marx et la poupée de Maryam Madjidi
- Ne parle pas aux inconnus de Sandra Reinflet
Les autres, je suis passée un peu à côté, certains m’ont même fortement déçue. J’ai aimé recevoir dans ma boîte les livres et les petits mots qu’on s’échangeait, ne pas avoir à réfléchir à ma prochaine lecture. J’ai follement aimé rencontrer et discuter avec Stéphanie Kalfon et Timothée de Fombelle lors de la soirée de clôture en décembre. J’ai moins aimé avoir moins de temps pour d’autres lectures, être pressée par le temps, me sentir obligée..
J’ai décidé de ne pas reprendre l’aventure, j’ai envie de lire de la littérature de l’ailleurs, des livres plus consistants, de relire Romain Gary…
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